Congrès de la société Africaine d’endocrinologie métabolisme nutrition (SAEMN) et Congrès Africain du diabète (ADC) 2024
Thème: Gestion Rationnelle du Diabète, des Maladie Endocriniennes et Non Transmissibles en Afrique dans le cadre de la Couverture Sanitaire Universelle (CSU)
Du 7 au 11 Octobre 2024 se tiendra au RADISON Blu ABidjan Côte d’Ivoire, le 5eme Congrès de la SOciété Afriaine d’aEndocrinologie Métabolisme Nutrition (SAEMN) et Congrès Africian du Diabète (ADC)
« la SAEMN et l’ADC ont pour objectifs la mise en place de divers modèles de recherche, de renforcement de capacités basés sur des normes de soins fondées sur le consensus et spécifiques aux pays africains en synergie avec les sociétés de diabète et d’endocrinologie du continent africain. Ces deux sociétés organisent régulièrement des congrès scientifiques à travers l’Afrique, rassemblant en moyenne plus de 400 participants. Leur 5ème Congrès conjoints, qui se tiendra à Abidjan du 9 au 11 octobre 2024, réunira les principales sociétés africaines d’endocrinologie et de diabète autour du thème central : « Gestion rationnelle du diabète, des maladies endocriniennes et non transmissibles en Afrique dans le contexte de la couverture sanitaire universelle ». Il s’agit d’un congrès bilingue (anglais-français) qui permettra de lever la barrière linguistique… »
Extrait du discours du PCO
Le diabète sucré constitue l’une des urgences sanitaires mondiales les plus préoccupantes du 21ème siècle, avec une croissance attendue dans le monde de 537 millions en 2021 à 784 millions d’ici 2045. En Afrique, cette progression est alarmante avec un taux d’augmentation estimé à 134% sur la même période.
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S’agissant des pathologies endocriniennes (hypophysaires, thyroïdiennes, surrénaliennes, gonadiques) elles restent méconnues, leur diagnostic et leur prise en charge obérés par l’inaccessibilité aux explorations et aux médicaments. Ces affections sont essentiellement des maladies non transmissibles (MNT) dont le fardeau économique est lourd, aussi bien en termes de perte de productivité qu’en termes de dépenses en soins, ce qui en fait un grand défi pour les systèmes de santé et les gouvernements des pays africains.
